juin 2024
Heureux de vous revoir!
Où étions-nous ce mois-ci ?
Myrtis et Colin ont tous deux étés interviewés à CJAD par David Hertel ce mois-ci.
Aussi, Myrtis, Colin et Charles Roburn (conseiller spécial au conseil d'administration du CaPQ) ont assisté à l'AGA et au cocktail du QCGN (le groupe d'intérêt central des organisations anglophones du Québec) en plus du lancement de l'organisation Y4Y Québec, un organisme à but non lucratif engagé à répondre aux enjeux auxquels font face les jeunes anglophones (âgés de 16 à 30 ans) partout au Québec.
Myrtis Fossey a eu une table ronde avec notre équipe régionale de l'Ouest-de-l'Île le 25 juin, à laquelle participaient Jonathan Gray, président régional de Montréal et de l'Ouest-de-l'Île, Cynthia Costigan et des membres.
Ce mois-ci, vous pouvez lire des articles de notre porte-parole en matière d'éducation, Jonathan Gray, un commentaire de Will Twolan concernant les sanctions commerciales potentielles que les États-Unis envisagent sur la base du projet de loi 96, ainsi qu'un article d'opinion d'Avi Karp sur la collecte de fonds.
Nous incluons également une lettre que le Parti canadien du Québec (CaPQ) a envoyée au très honorable Justin Trudeau, à tous les chefs des partis fédéraux et à tous les premiers ministres provinciaux concernant l'avancement d'une potentielle 11e province.
Je profite de cette occasion pour vous souhaiter à tous un joyeux week-end de la Saint-Jean-Baptiste et de la fête du Canada ainsi qu'un été sécuritaire, sain et heureux.
Nous serons de retour avec une ligne de front politique fin août.
Liz Campbell
Présidente du parti
Parti canadien du Québec (CaPQ)
Réflexions du porte-parole en matière d'éducation du CAPQ
Jonathan Gray
Parti canadien du Québec
Alors que je m'assois pour écrire cet article d'opinion, je ressens de multiples émotions; frustration, colère, confusion, culpabilité, mauvais traitements et espoir. Je voudrais me concentrer sur l’espoir. Mais avant de le faire, vous devriez savoir d’où je viens. En tant que professeur de sciences au secondaire dans l'un des rares établissements publics anglophones restants à Laval et à Montréal, je travaille quotidiennement avec les adolescents, leurs familles et l'administration. J'ai pensé qu'il était important de partager un point de vue personnel et de ne pas simplement ressembler à un autre critique se plaignant des mêmes choses que nous savons être mauvaises, injustes et mesquines. Après avoir vu la réaction positive à la rédaction de M. Colin Standish (cochef du parti) sur ses histoires personnelles de son enfance dans les Cantons-de-l'Est, il est devenu évident que les histoires de la vie réelle sont ce que les gens ont besoin d'entendre, et non un scénario hypothétique.
Pourquoi espérer, et bien parce que nous DEVONS être une population suffisamment intelligente pour voir les actions du gouvernement Legault telles qu’elles sont. Les projets de loi 96, 21 et 40 ont tous été élaborés dans le but stratégique de diminuer les droits et libertés des anglophones et de la communauté. Nous constatons une déperdition des écoles anglophones, particulièrement aux niveaux primaire et secondaire. Certains ont qualifié ces actions d’extrêmes, inappropriées et inutiles. Et je suis d'accord. « Trop d'anglais dans les rues de Montréal », dit Legault. Il a même déclaré qu’ il faudrait parler davantage de français à la maison ». Qui est-il pour dicter ce que nous faisons dans nos propres maisons ? Montréal n'est-elle pas une destination touristique majeure, pour les Américains et les Européens ? Les tentacules du projet de loi 96 s’étendent loin, mais j’espère que notre société sera suffisamment intelligente pour le constater et mettre fin à sa propagation nocive en élisant des représentants qui se battront pour l’équité et le respect.
L’autre jour, alors que je dînais avec ma famille et mes amis, un débat très intéressant a surgi. On parlait du français au Québec et du français dans le reste du Canada (ROC). J’ai vraiment vu les choses sous un autre angle ce soir-là par rapport aux absurdités de Legault et d’autres « nationalistes ». Cela m'a amené à remettre encore plus en question la folie du programme du gouvernement provincial actuel
Un de nos invités était en faveur de retirer ses enfants des écoles anglaises et de les placer dans des écoles françaises, afin de les aider à progresser, a-t-il déclaré. Cela, pourrais-je ajouter, serait au détriment des commissions scolaires anglaises. Le but était de renforcer la maîtrise de la langue française de leur enfant. Ils penchaient également pour comprendre la volonté du Québec de proposer des politiques visant à « protéger la langue et la culture françaises. Ils ont mentionné qu'à leur avis, le gouvernement fédéral n'a pas fait d'efforts significatifs pour renforcer les services et l'accès en français dans tout notre pays « bilingue ». C'est ici que cela devient intéressant. Si le gouvernement fédéral devait mettre en place des exigences plus strictes et rendre davantage de services accessibles dans les deux langues (ce qui existe déjà dans de nombreux cas), cela 3 3 ne satisferait toujours pas les affirmations de Legault. Il prétendrait quand même que le Canada n'en fait pas assez et il établirait donc des règles plus protectionnistes au Québec.
Quelque chose que je me pose depuis un moment et que j'ai mentionné à plusieurs personnes ; Si la population puriste du Québec diminue et qu'ils ne reconstituent pas leurs effectifs avec de la « pure laine », pour protéger leur langue et leur culture, alors comment l'immigration croissante de francophones et de nonfrancophones est-elle censée satisfaire le programme d'économie du gouvernement, culture et langue québécoises ? Je trouve particulièrement déconcertant de voir comment cela est censé sauver la culture, surtout lorsque l'immigration provient de cultures diverses.
Chose intéressante, il y a plus de francophones au Québec que jamais auparavant. J’espère que les gens intelligents, quelle que soit leur langue, comprendront les propos alarmistes de la CAQ de Legault.
L'égalité, non seulement pour les paiements d'admissibilité au Québec, mais aussi pour le partage des sanctions.
Par William E. Twolan
Ancien candidat du CaPQ
Le projet de loi 96 n’est pas étranger aux Québécois et aux défenseurs des droits de la personne, mais pour le ROC, le projet de loi 96 pourrait devenir personnel. Les représentants commerciaux du gouvernement américain envisagent d'imposer des sanctions au Canada en raison de la violation par le projet de loi 96 du Trade Act de 1974. Cela signifie que le ROC fera face aux mêmes sanctions en raison de la position combative du Québec et de la violation de la Charte concernant la limitation de l'anglais dans la province. Cette situation est de plus en plus inquiétante pour une multitude de facteurs;
La première étant que, pendant que le gouvernement du Canada reste les bras croisés pendant que le Québec viole la Charte et la Constitution canadiennes, c'est le gouvernement américain qui est le premier État-nation à contester le projet de loi 96. De plus, ce n'est pas seulement le gouvernement fédéral américain qui fait exploser la loi, sifflent sur le projet de loi 96, mais les plaintes dans le domaine commercial s'étendent des grandes entreprises comme Microsoft à Hershey's. Ces grandes entreprises expriment leurs inquiétudes aux responsables commerciaux américains alors que le Québec tente d’empiéter illégalement sur les noms de marque de grandes entreprises, sur lesquels le Québec n’a en fait aucune compétence légale.
La possibilité de sanctions américaines contre le Canada ne se limitera pas uniquement au Québec, mais potentiellement à toutes les provinces et territoires canadiens.
Quel cadeau le Québec pourrait finir par offrir au reste du Canada, surtout aux provinces qui finissent par débourser de l'argent au Québec sous forme de paiements de péréquation.
L’impact économique auquel le Canada pourrait être confronté est entièrement dû à la croisade inutile, illégitime et contraire à la Charte du Québec visant à écraser les droits des Québécois dans la province. Mais, à la fin de la journée, le Québec partage la responsabilité avec Ottawa et ses 338 députés fédéraux, les soidisant défenseurs de la moralité, de ne pas avoir protégé les droits fondamentaux des Québécois garantis par la Charte.
COLLECTE DE FONDS
PAR AVI KARP
COORDINATEUR RÉGIONAL D'ÉVÉNEMENTS
PARTI CANADIEN DU QUÉBEC
Les contributions politiques sont non seulement importantes, mais elles sont nécessaires. C’est pourquoi c’est la dernière étape d’un réveil politique. Je ne nie pas qu'il existe d'autres façons d'être politiquement actif, depuis l'activisme (en ligne ou non), en passant des appels téléphoniques et en frappant aux portes lors de chaque conversation difficile, tous atteignent l'objectif de gagner la politique populaire, une conversation à la fois.
Mais disons que vous avez des enfants, que vous travaillez à temps plein, que vous avez des tâches ménagères, la liste est longue ! La vie est bien remplie, mais vous souhaitez faire de la place à une cause qui vous tient à cœur. Accordez-moi 5 minutes pour vous convaincre pourquoi il est facile de continuer à s'impliquer ; parce que les contributions politiques sont augmentés par Élections Québec, un moyen facile de soutenir vos convictions et son impact est bien plus vaste que vous ne le pensez.
En politique, il y a généralement certains avantages à apporter des contributions. Au fédéral, c'est sous forme de déduction fiscale, tandis qu'au Québec, votre contribution est augmentée par Élections Québec. Chaque dollar que vous donnez est multiplié par 2,5 pour que vos attentes et vos droits se traduisent en actions. Lorsque vous contribuez à votre parti provincial, vous pouvez être sûr que vous faites une différence en créant la société dans laquelle vous souhaitez vivre. Nos croyances, nos valeurs et notre culture sont importantes, elles nous poussent à agir ; ce qui nous pousse à ressentir. Il n’y a pas de si, ni de mais à ce sujet. La politique consiste simplement à mettre vos convictions en action. Mais chaque étape coûte de l’argent ! Du personnel embauché aux stylos avec lesquels ils signent les chèques de paie. Chaque timbre, crayon, feuille imprimée, chaque marchandise, chaque lumière allumée, chaque appel téléphonique coûte de l'argent. Un parti politique doit recevoir suffisamment de contributions non seulement pour maintenir les lumières allumées, mais aussi pour faire le militantisme dont vous avez besoin ! Chaque dollar donné à un parti politique est utilisé pour vous aider à combattre vos convictions à l'Assemblée nationale et à faire pression sur le gouvernement provincial actuel ! Ont-ils organisé un événement de sensibilisation ? C'est grâce à vos dons. Ont-ils passé du temps à passer des appels téléphoniques ? Encore une fois, c'est grâce à vos dons. La réalité est que je préfère qu’un parti obtienne ses contributions des personnes qu’il cherche à représenter plutôt que des prêts.
Enfin, il y a une distinction importante à faire lorsqu’il est temps de saisir votre numéro de carte de crédit pour vous aider à préserver vos convictions. Élections Québec vous permet de donner jusqu'à 100,00 $ annuellement lors d'une année non électorale et 25,00 $ pour une carte de membre. Pour chaque tranche de 100,00 $ que vous contribuez, Élections Québec déposera 250,00 $ dans le compte du parti.
J'espère vous avoir convaincu de faire un don au Parti canadien du Québec et que vous continuerez à profiter des avantages et des privilèges de vivre dans un pays développé où de nombreux Canadiens se sont battus et sont morts pour cette démocratie que nous devrions nous aussi lutter pour préserver.
AIDEZ-NOUS À COMBATTRE LE BON COMBAT !! JOIGNEZ-VOUS AU PARTI CANADIEN DU QUÉBEC
Nous recherchons actuellement des personnes susceptibles de rejoindre notre comité exécutif
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